La protection des requins à travers la CITES

La protection des requins à travers la CITES
Rodrigo Friscione/Getty Images

En Mars 2013, les membres de la CITES ont ajouté le requin-taupe commun et le requin océanique à pointes blanches, trois espèces de requins-marteau (halicorne, grand et lisse) ainsi que toutes les espèces de raie manta à l’Annexe II de la Convention. Les espèces listées en Annexe II peuvent encore faire l’objet d’un commerce légal, à la condition que ce dernier ne cause pas de préjudice pour ces espèces à l’état sauvage.

Les protections sont entrées en vigueur le 14 septembre 2014. La mise en oeuvre de la Convention nécessite un effort véritablement mondial. Des pays tels que le Brésil, la Colombie, les Fidji, l’Indonésie, le Pérou, le Sri Lanka et les Emirats Arabes Unis, entre autres, ont contribué à ouvrir la voie. Les membres signataires de la CITES du monde entier collaborent désormais, à une échelle sans précédent, à la mise en place de ces nouvelles protections et à la gestion des populations de requins présentes dans leurs eaux. De plus, la Région administrative spéciale de Hong Kong, plaque tournante du commerce mondial des ailerons de requins, s’est imposée comme un chef de file qui veille à la règlementation de ce commerce et au respect des listes.

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